Récitation À Haute Voix Du Saint Rosaire De La Très Sainte Vierge Marie | The Holy Rosary In French

Récitation À Haute Voix Du Saint Rosaire De La Très Sainte Vierge Marie | The Holy Rosary In French

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Le rosaire est un exercice de piété catholique qui consiste à dire quatre chapelets d’oraisons. Consacré à la Vierge Marie, mère de Jésus-Christ, il tire son nom du latin ecclésiastique rosarium qui désigne la guirlande de roses dont les représentations de la Vierge sont couronnées.
The Holy Rosary (pronunciation: /ˈrəʊz(ə)ri/, Latin: rosarium, in the sense of “crown of roses” or “garland of roses”[1]), also known as the Dominican Rosary,[2][3] refers to a form of prayer used in the Catholic Church and to the string of knots or beads used to count the component prayers. When used for the prayer, the word is usually capitalized (“the Rosary”), as is customary for other names of prayers, such as “the Lord’s Prayer”, and “the Hail Mary”; when referring to the beads, it is written with a lower-case initial letter (“a rosary”).
Le rosaire, à l’origine, est une forme de dévotion mariale qui consiste à réciter trois chapelets, composés chacun de cinq dizaines de grains. Ces quinze dizaines permettent de méditer sur des « mystères » liés à Marie et à Jésus. Depuis le pontificat de Jean-Paul II, un quatrième chapelet a été ajouté, portant le total à vingt dizaines. Le Pape Jean-Paul II a expliqué dans la lettre apostolique «Rosarium Virginis Mariae» que “chaque mystère du chapelet, bien médité, met en lumière le mystère de l’homme. En même temps, il devient naturel d’apporter à cette rencontre avec la sainte humanité du Rédempteur les nombreux problèmes, préoccupations, labeurs et projets qui marquent notre vie. « Décharge ton fardeau sur le Seigneur: il prendra soin de toi » (Ps 55, 23). Méditer le Rosaire consiste à confier nos fardeaux aux cœurs miséricordieux du Christ et de sa Mère”1.
Les mystères appartiennent initialement à trois catégories : les « mystères joyeux » (l’Annonciation, la Visitation, la Nativité, la Présentation de Jésus au Temple, le Recouvrement de Jésus lors d’un pèlerinage à Jérusalem) ; les « mystères douloureux » (l’agonie de Jésus, la Flagellation, le Couronnement d’épines, le Portement de la Croix, la Crucifixion) ; enfin, les « mystères glorieux » (la Résurrection, l’Ascension, la Pentecôte, l’Assomption, le Couronnement de Marie).

Lors de l’« année du Rosaire » (octobre 2002 – octobre 2003), le pape Jean-Paul II a ajouté une quatrième catégorie de cinq mystères, plus spécifiquement christologiques : les « mystères lumineux »2. Ils comprennent le Baptême du Christ, les Noces de Cana, la proclamation du Royaume, la Transfiguration et l’institution de l’Eucharistie.

Dans une volonté d’œcuménisme, ces mystères lumineux portent sur des épisodes de la vie de Jésus qui intègrent les préoccupations des Églises réformées, soucieuses de voir mettre l’accent sur son message. L’Église catholique recommande de méditer sur les mystères lumineux le jeudi.
Pour Jean-Paul II, l’objectif du rosaire est avant tout de « contempler avec Marie le visage du Christ ». Cette contemplation fait appel à l’imagination, ce qu’Ignace de Loyola appelle une « composition de lieu » : il s’agit de reconstituer dans son imagination et de voir en esprit tel ou tel événement de la vie de Jésus.

On recommande aux fidèles de prier chaque jour une fois le chapelet : soit un tiers du rosaire. À chaque catégorie de mystère sont associés deux jours de la semaine, le dimanche faisant exception. En six jours on prierait deux fois le rosaire, et le dimanche, on prierait encore une catégorie de mystère, suivant le calendrier. Les autres jours de méditation peuvent aussi être modifiés en fonction du calendrier (par exemple, méditer les mystères glorieux les jours de fête et les mystère joyeux la veille).

À la fin du rosaire, on conclut par une prière mariale.

Dans le Je vous salue Marie, entre « Jésus » et « le fruit de vos entrailles », on peut réciter une clausule8.

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